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Le défi 71 est ouvert
Vous avez jusqu’au dimanche 1er décembre pour poster votre production à ImageInAir : imageinair64200@gmail.com.
Vote : mardi 3 décembre
(Vérifier la mise en place de votre photo dans la galerie lundi décembre).
Les résultats avec le lien ci-dessous.
PostProd 503
PostProd 504
Vous avez jusqu’au lundi 18 novembre minuit pour poster votre production à la boîte aux lettres du club : imageinair64200@gmail.com.
(Vérifier la mise en place de votre photo dans la galerie le mardi 19 novembre).
Lâchez-vous !
23 membres ont participé à la 16ème édition qui a duré 85 jours. Soit une réactivité moyenne de chacun de 3,7 jour.
Espérons que cette 17ème édition aura au moins autant de succès et que chacun y prendra du plaisir.
Chacun des membres recevra au fil de l’eau la photo fruit de l’inspiration de son prédécesseur sur laquelle, à son tour, il “rebondira”….
Envoyer votre production à Jean-Luc : paris.jluc@gmail.com
Cjclaude
Avec cette photo émerge le dialogue entre titre et photo . le titre est il ton intention ??…..la photo en étant l’expression .
pour moi, seuls les pieds traduisent le titre …mais ils ne représentent qu’une toute partie de l’ensemble ( où nous regardeurs allons imaginer d’autres intentions comme bras chargés, ou relation personnage et devanture “belle” ou…..)
Mais les pieds seuls ont ils assez de présence pour être le sujet ?
à discuter …
valeur du titre , chronologie de son émergence ( moteur du déclenchement ou accessoire )
Christian LIBIS
Je suis d’accord avec ton approche:
le titre affiché par le photographe doit-il expliciter son intention ?
Quand j’ai pris cette photo, j’ai vu cette femme au pas rapide, portant son pain et dont la tenue vestimentaire m’a paru intéressante.
Ce n’est qu’au développement que le choix du titre est fait.
A la prise de vue, particulièrement en photo de rue, tout va très vite, c’est l’instinct du chasseur d’image qui prime.
Personnellement, je souhaite que le regardeur puisse donner libre cours à son imagination. La photo n’est que l’amorce d’une histoire à inventer .
Ainsi, le choix d’un titre me pose problème et je me demande si, à l’instar de nos défis, il ne vaudrait pas mieux donner toute liberté au regardeur.
A débattre.